Plus jamais silencieuses

caroline pierret pirson
2007 - Essai - 70 min

Cinéma d'ici


Plus jamais silencieuses

pays :
Québec (Canada)
langue :
français

Plus jamais silencieuses est une installation vidéographique documentaire et participative dont le propos est centré sur la libération de la parole et de l’écoute de personnes ayant vécu de l’oppression basée sur le genre. Ce projet a été inspiré par le rôle qu’ont joué les médias sociaux Instagram, Twitter et Facebook lors du soulèvement #metoo. Armes puissantes contre la culture du silence, ces médias ont permis à des voix restées longtemps mutiques ou étouffées d’être entendues et d’exprimer une somme impressionnante de colères et de désirs.

 

Dans ce sillage, Plus jamais silencieuses participe à l’affranchissement de la parole et des visages de 19 Québécoises âgées de 26 à 74 ans, originaires de 10 pays différents, en rassemblant les portraits et témoignages de ces femmes ayant vécu ou vivant des situations d’oppression en raison de leur genre.

 

En présence de caroline pierret pirson, Marie Martine Bédard et Diane Poitras (documentariste, professeure à l’École des médias en pratiques documentaires, co-directrice du labdoc – laboratoire de recherche sur les pratiques audiovisuelles documentaires), samedi le 25 mars.

LÉGENDE
STF - Sous-titres français
STA - Sous-titres anglais

Nos suggestions

Un espace intérieur abandonné dans une scène du film Interceptés.

Interceptés

À l’image, des Ukrainiens tentent de vivre malgré la guerre. Au son, des conversations interceptées de soldats russes se confiant à leurs familles. Interceptés superpose ces deux mondes pour révéler la terrible réalité du conflit et l’impasse de l’invasion russe en Ukraine.

En savoir plus

Carlos Moore et Ayana O'Shun dans une scène du film La fête des pères.

La fête des pères

Dans La Fête des pères, Ayana O’Shun (Le Mythe de la femme noire) enquête sur le phénomène des pères absents dans les communautés noires, à travers son récit personnel et celui de femmes lumineuses et résilientes du Québec et de la Guadeloupe.

En savoir plus

Noriko Oi dans une scène du film Okurimono.

Okurimono

Noriko Oi, une Québécoise d’origine japonaise, retourne à Nagasaki pour aider ses frères et sœurs à vider leur maison d’enfance. Elle décide de reconstituer le passé de leur mère, survivante de la bombe atomique, dans l’espoir d’apprivoiser son héritage familial.

En savoir plus

Cinéma Public,
un cinéma en mouvement